Il fera probablement un examen physique complet en portant attention à toute douleur ou tout autre symptôme qui pourrait nuire au sommeil.

Il pourrait demander des analyses sanguines pour vérifier les taux de fer, d’hormones, de nutriments, d’oxygène ou de médicaments dans le sang. Il pourrait aussi demander une évaluation du sommeil, selon la situation de la personne et l’accessibilité des centres d’évaluation.

Le prestataire de soins pourrait prescrire des médicaments, selon le résultat des évaluations.

Encouragez la personne à être active pendant la journée : rendre visite à des gens, écouter de la musique, s’adonner à un passe-temps ou faire de l’exercice léger si possible.

• Réduisez le plus possible les interruptions nocturnes causées par le bruit et la lumière.

• Éliminez les distractions : enlevez les horloges, les téléphones et les ordinateurs de la chambre.

• Repassez les draps pour les déplisser et placez les oreillers de façon confortable.

• Il peut s’agir de se laver le visage et les mains, de donner les soins buccaux, d’enfiler son pyjama et d’appliquer de la lotion tous les soirs.

• Vous pourriez proposer de lire un livre, d’écouter une séance de méditation ou d’avoir une conversation calme et rassurante.

• Encouragez la personne à boire une boisson chaude avant d’aller au lit si cela l’aide à se détendre.

• Encouragez-la à éviter la caféine, l’alcool et la nicotine avant de se coucher.

• Suggérez-lui de restreindre l’utilisation de son téléphone, de son ordinateur et des médias sociaux immédiatement avant le coucher.

• Encouragez la personne à prendre les médicaments qui lui ont été prescrits aux moments prévus.

• Encouragez la personne à envisager le counseling

• Les inquiétudes et l’anxiété peuvent contribuer aux troubles du sommeil. Ce sont des émotions fréquentes dont la personne devrait parler avec un prestataire de soins ou une personne en mesure d’offrir du counseling.