Gérer les symptômes, par exemple la douleur ou l’essoufflement, peut aider à faire diminuer l’anxiété de la personne.

L’examen des médicaments pris par la personne peut permettre de savoir si ceux-ci contribuent à son anxiété. Il pourrait aussi être bénéfique d’en prescrire un nouveau.

La personne pourrait être dirigée vers un travailleur social, un intervenant en counseling ou un fournisseur de soins spirituels et ainsi recevoir du soutien émotionnel, des suggestions pratiques et de l’information. Un travailleur social pourrait également faciliter l’obtention de services à domicile, par exemple des visites d’infirmière ou de l’aide pour les soins personnels ou les tâches ménagères.

Si la personne est réticente à parler de ses problèmes, vous pourriez demander à son prestataire de soins comment l’aider.

Une présence calme, compréhensive et patiente peut être bénéfique pour une personne qui vit de l’anxiété.

Parfois, les gens ont envie de parler à leurs amis ou à leur famille de l’évolution éventuelle de leur maladie, de ce qui s’en vient et des conséquences que cela pourrait avoir sur les autres. Ils s’inquiètent peut-être de la capacité de leurs proches à faire face à la situation. Si la personne le veut bien, cela pourrait lui être utile de parler de ces sujets avec vous.