Dans la mesure du possible, demandez à la personne dont vous prenez soin ce qu’elle aimerait manger à chaque repas. Établissez une liste générale de ce que vous pouvez préparer et de ce que vous devez éviter.

Les besoins nutritionnels de la personne sont la première chose à considérer. Il peut être utile de discuter avec le personnel soignant, qui pourra vous fournir de l’information pertinente. Certains aliments sont-ils particulièrement bénéfiques? Quels sont les aliments qui doivent être évités?

N’oubliez pas que la variété est cruciale dans tout régime alimentaire. En plus des fruits et légumes, la viande, les œufs et les produits laitiers font habituellement partie d’une saine alimentation.

Rappelez-vous que les goûts, les préférences et les tolérances peuvent changer au fil de l’évolution de la maladie. Certains médicaments peuvent altérer les saveurs et réduire l’appétit.

De plus, il peut être nécessaire de modifier la texture de certains aliments si la capacité de la personne à mastiquer ou à avaler diminue.

Si vous remarquez une baisse d’appétit, demandez à la personne malade quels sont ses aliments préférés et intégrez-les au menu.

Quelles sont les habitudes alimentaires de la personne malade? A-t-elle des intolérances et des allergies? Par exemple, est-elle sensible au lactose? Est-elle allergique aux noix? Il se peut également qu’elle ait une préférence pour certains régimes alimentaires. Elle pourrait être végétarienne ou végétalienne, par exemple.

Même si la personne malade n’a pas officiellement d’allergies ou d’intolérances, il se peut qu’elle développe une intolérance à l’odeur de certains aliments. Demandez-lui si c’est le cas et tenez compte de ces sensibilités lorsque vous faites à manger. Au besoin, pensez à fermer la porte de la cuisine ou de la chambre.