Chapitre 1 : Ce que l’on ressent à la suite d’un diagnostic grave
Peur
Qu’est-ce qui allait arriver à mon mari? Qu’est-ce qui allait arriver aux enfants et à moi? J’avais peur.Pour une qui a reçu un diagnostic de maladie à pronostic réservé et qui est gravement malade, la peur peut prendre plusieurs formes. Nommer ses peurs est un moyen important d’y faire face. La peur de l’inconnu est un thème courant. Cliquez sur les flèches pour en découvrir quelques-unes.
« Qu’est-ce qui se passe quand une personne meurt? »
« Quelle expérience vivrons-nous au cours de ce cheminement? »
« Est-ce que la personne va souffrir? »
« Est-ce que la personne sera traitée avec dignité? »
« Est-ce que ce sera un fardeau pour ma famille? »
Il n’est pas facile de parler de ses peurs,
surtout quand on se sent vulnérable. Pourtant, si vous vous ouvrez, vous
trouverez de l’information, des appuis et de l’aide.
Quelques idées...
- Lire de l’information sur les symptômes de la maladie, comme la douleur ou la constipation, pourra vous donner confiance quant aux soins que vous recevrez.
- Des soins spirituels peuvent s’avérer utiles. On peut répondre aux besoins spirituels d’une personne même si elle n’a pas de convictions religieuses. Le personnel professionnel en soins pastoraux pourra vous aider.
- La prise en compte des besoins culturels est un volet important des soins centrés sur la personne.
Ressources utiles